Chapitres 7 à 12… Hey Bilbo…
Participer à six appels à textes avant la date fatidique du 30 juin, pari insensé ? Et bien non… Les thèmes nombreux m’ont permis de démontrer que rien n’est insurmontable si je m’attache à suivre une organisation rigoureuse surfant sur l’engouement que me suscite ce choix de vie… Cependant, avec autant d’écarts sur les thèmes imposés, n’ai-je pas négligé au final la qualité des textes que j’ai proposé ? Il fallait bien un commencement pour relancer la machine à écrire… Alors, par ici, la visite…
I – Le Bâtard d’Icare
SYNOPSIS :
Un plan A aurait mal tourné. Dans le registre des accidents de parcours, les scenarii catastrophes, je peux l’affirmer, j’en connais un rayon. Alors, pourquoi ne pas revisiter du même coup le mythe d’Icare en une version contemporaine ? Un hommage à un ange qui sauva celle d’un autre, déchu quant à lui, en une vie d’un jeune prétentieux mégalomane qui se crû arrivé trop tôt en un oued outre atlantique. Un voyage emprunt de rédemption, en prenant des chemins de traverses pour atteindre à son humble niveau, une supposée sagesse et finalement, marcher sur les traces d’un plan B pour lequel il était destiné.
II – Au milieu des baleines
L’un des sept pêchés proposé lors de cet appel à texte ne pouvait décemment pas m’échapper en lieu et place des sirènes et de l’envie. Celle qui brûle le personnage principal, dans ce New York City Underground. Là où dans cette faune qui ne dort jamais, à la limite de l’inconscience, en ces périodes d’extrêmes fatigues, il rencontre de fameuses sirènes. Outre les clichés, le mythe est revisité avec pour absolue nécessité d’incarner un autre Ulysse ayant enfin rejoint son Ithaque mais qui lui coûterait son salut.
III – La mort ne prend qu’une fois
SYNOPSIS :
Aristide Del Azurri est un sang froid, un vampire qui, à force d’observer le virus le plus prolifique sur Terre, les Hommes, vient s’épancher quelques instants avec un conteur afin de susurrer ce qui sera sa fin. Ne pas croire qu’il s’agirait d’un plagiat de Christian Slater ou une imitation d’entretien avec un vampire d’Anne Rice. Juste le témoignage d’un puissant qui a horreur du goût du sang, seule denrée pour le maintenir en vie et qui sous couverture de se trouver des victimes, en est devenu une sorte de parrain, un patron dans le jargon d’une cité dortoir.
IV – Mannahatta
SYNOPSIS :
Racontez-nous votre Amérique ! N’est-ce pas une invitation à exprimer une déclaration d’amour pour un ressenti, le mien, à l’attention de cette ville aux mille lumières, en attendant de la conter autrement, un jour. Chaque chose vient en son temps. Dans la douce d’ébène, la photographie d’une vie simple à l’image de cette rue, d’un personnage et autour de lui, toute la faune de Mannahatta. Un simple regard le temps d’un songe d’une nuit de septembre 2011.
V – N’y descendez jamais !
SYNOPSIS :
N’y descendez jamais ! Bien sûr qu’il ne faut point y aller mais parfois et à l’image de l’adage que la curiosité est un vilain défaut, Mathis Charrier va pouvoir gouter à son premier Halloween… Un souvenir impérissable et avec une pensée chaleureuse et l’espoir qu’Abigail se porte à merveille depuis mon absence… Une histoire en guise de remerciement éternel d’avoir été son voisin l’espace de quelques années, celles-là même où je fus des oreilles attentionnées à l’écouter me raconter des histoires que peu ont eu la chance d’entendre…
VI – Wassup Yo !
SYNOPSIS :
Le Bling-Bling à l’américaine, sait-on vraiment ce qu’il en retourne ? Sans pour autant prétendre posséder quelconque vérité, cette mode accaparée par les gens de la haute ou encore ces délurés des émissions de télé-réalité qui ont détourné à leur façon l’expression même de ce mouvement né d’une simple chanson de 1998. Savoir retranscrire ce qu’il en est vraiment à défaut de se la péter aux yeux des autres et sortir à qui veut l’entendre, moi, moi, moi, je sais. Sur la 129ème rue Ouest, le Bling Bling était sauvage et cash. Et là, ils savaient de quoi ils parlaient.
CONCLUSION :
Au final, je me suis bien éclaté… J’ai crû perdre le fil par moments, c’est vrai mais je n’oublie pas que je n’attends rien des résultats… Il n’y a pas besoin de se presser si c’est pour me retrouver sur le coup de l’euphorie que j’ai réussi un autre fait héroïque coutumier dans ma vie… Alors, un simple merci à tous ceux qui me suivent et les garçons et moi-même vous souhaitons de profiter de très bonnes vacances… Mais, vous me connaissez, je ne serai jamais très loin pour revenir offusquer vos mirettes… End of transmission…