Devenu trop fortiche sur les effets spéciaux après avoir été formé à la Manyna’s School, se rendre au cinéma, sans les Boyz, des bisous les loulous, et aller mater le dernier film sur le Kong ! Clair que le Brad Pat avait raison, j’ai renfilé mon bermuda en jeans, mes Nike et mon sweatshirt Old School « et vlaty pas » que dès le générique… Enfin bref, ça donne quoi ?
Jeff Bridges, Jessica Lang, King Kong, le seul, l’unique, le vrai… Ne me parlez pas du remake de Peter Jackson sur le Kong de 33. Oui, il y avait du bon dans la trame des Tarzan avec Johnny Weissmuler. Brad Pat : je plussoie direct…
Ici, je me rappellerai des propos d’un célèbre auteur quand à la lecture de l’une de mes nouvelles, deux ans auparavant et qui me disait sur le thème abordé : Si tu t’attaques à un mythe, faut avoir les reins solides… Et pour Kong : Skull Island donc ?
C’est très cliché !
Penseraient les pros de la critique dévastatrice mais là où, faudrait se rappeler le but du cinosh, c’est de divertir aussi, surtout, enfin bref, tu dois t’en prendre pleins dans les mirettes et t’as intérêt à bien rembourser ton investissement à 4 Euros…
Printemps du cinéma, pensez-y…
Interlude non sponsorisé par le Ministère de la Culture mais les arts, que voulez-vous ?
Quoi ?
Tu parles déjà des Lézards. Des gros, des visqueux, des biens dangereux et tout et tout… Oué, c’est là où j’ai eu une luxation de rétine même si j’ai aimé la métaphore sur le mythe du héros. Hummm, l’incohérence sur le déroulement de la scène d’un point de vue Physique pure, certes, avec un super FX, ça ne marche pas en vrai de vrai… Bon, seul défaut du film ? Le réalisme donc ?
Le décor est juste trop bien planté. Campé dans les stéréotypes des visions mâles de nos pères, le film leur rend hommage, à ce ridicule macho macho man. Nous sommes dans les années 70. Il y a de la zic à donf, l’ambiance est superbement bien retranscrite. On y est… Oui, ce film a été réalisé par un joueur de jeux vidéos tant le cadrage y ressemble, tant, oh putain, ils se font tous découper en rondelles !!!!!!!!!!!
Et puis voilà le Kong… Enfin, le Kong quoi… Il est trop bien fait en fait… Euuuuuuuh… En fait, je pense que les anthropologues de toutes parts du monde ont du avoir une crise cardiaque… Papa avait pourtant l’air de bien se porter à l’écran. Oui avec sa marche humanoïde, bien droite… Un singe ou un homme alors ?.
Oui, les Hommes alors… La cohorte d’acteurs qui tentent de lui voler la vedette à mon Kong et bien heureusement qu’ils sont là… Juste trop bien casté tous ces gens tels que John Goodman, impeccable comme toujours. Samuel L. Jackson mais d’une force avec en sus le petit clin d’œil à la ville d’Atlanta, trop bien ouej… Stop… Le reste, vous les découvrirez…
Aucun temps mort. No Mercy as well traduit par : Ne vous attachez pas trop aux persos, vous risqueriez de le regretter… Juste bien dosé comme il faut pour rendre un film spectaculaire qu’un enfant, le vôtre, celui que vous aimez, celui avec qui vous désirez partager des trucs, le parent, sans genre biologique parce que ça pue ces conneries, franchement, j’ai regretté de ne pas avoir mes Boyz avec moi parce qu’on aurait discuté du film durant des heures après la séance…
Life is a bitch…
Nope…
Sur les conseils de Brad Pat, faut rester jusqu’à la fin car là, bingo parade… Mais chuuuut, on a rien dit… Note sur le film : **** sur 5